Pendant les nuits d’automne froides,
Dans les champs mouillés,
Vos hurlements glacent le sang des humains.
O combien profond !
Et tellement uniques et caracteristiques,
Qu’ ils sont a nul autre pareils.
Je ne peux pas savoir ou vous etes,
Si vous me regardez ou pas,quand j’arrive tard dans le noir
sentiers.
J’estimais toujours que nous avions un point commun.
Quand je regarde vos empreintes,laissées dans la neige,
Je sens votre presence ,
Vous m’evitez et cela me rappelle votre maitrise,
Peut-etre que mon allure incomprise par les hommes est noble
pour vous,
Je vous cherche
Mais mon echec,
Dans le champs quand le soleil se faufilait,
Et quand je reve a un amour sans reponse sur les roches
seches,
Alors un poeme eclat.
L’echo de vos hurlements dans mon coeur m’apprend combien je
vous comprends.
Pendant que je chasse la viand des maitres,
Je sais que vous luttez contre les chiencs de Berger sous le
clair de lune,
Par cela j’attend le moment ou nos vies paralelles se
croiseront la foret bleu ,
D’ou nous retrouveronds face a face.
Parce que je ne vivrai jamais dans les villes,
Et je renoncerai jamais au combat ,a chasse et a la
reussite.
Je ne fais jamais de compromis Loup ,
Je celebrerai ma noble solitude.
Quelle que soit l’expansion de la ville,
Qu’importe que les moutons soient en securité,
Votre retour dans nos champs,
Est une question de temps,
Un battement de cils,
Et une nuit,
Une attaque poetique.
Pour cette raison,
Chaque foi que je vais dans les montagnes,
Et chaque fois que je mentionne votre nom,
Le certitude que vous m’escortiez de loin,
Et qu’un jour vous viendrez a moi,
Est toujours avec moi.
N’avez vous pas ete la, quand il a beaucoup neigé,
Avec vos empreintes lineaires sur la blancheur sans fin ?
Je ne pouvais pas savoir combien vous etiez,
Ni d’ou vous etiez venus,
Mais je pouvais voir que vous viendriez.
Vous aimeriez les champs que j’aime,
Car vous etes mon frere.
Maintenant j’ai entendu quelques histoires sauvages venues
de nos champs.
C’est le temps du
retour,
Venez et chantez notre chanson commune une nuit sur les
roches.
Je vous sentirea de loin,
Je chanterai avec vous.
Quand vous dispersez les troupeaux,mon frere,
Je les conduirai dans les montagnes.
J’irai un jour,
Pour fonder une famille,
Et un jour je reviendrai,
Voudrais vous revoir,
Ne mourez jamais !
Parce que je ne mourrai pas,
Mon frere…
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